- Communiqués de presse
- Publié le 14/03/2024
- Mis à jour le 18/02/2025

Selon les estimations de l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), 224 personnes sont décédées en février 2024 sur les routes de France métropolitaine, contre 217 en février 2023, soit une hausse de +3 %.
On note en particulier une hausse de la mortalité des piétons (47 tués, soit +12), du nombre de tués automobilistes (114 tués, soit +11), ainsi que des jeunes de 18 à 24 ans (37 tués dans cette classe d’âge, +6).
Selon l’estimation de l’ONISR, 973 personnes ont été blessées[1] gravement.
Les accidents corporels de la circulation routière recensés par les forces de l’ordre sur les routes de France métropolitaine s’établissent à 3 500 en février 2024, soit +2 % par rapport à février 2023.
« Avec l'arrivée du printemps, les vélos et les deux-roues motorisées seront plus nombreux sur nos routes.
Je recommande vivement à tous les nouveaux usagers de préparer cette reprise de guidon, de vérifier l'état de son deux-roues motorisés, de s'équiper afin de se rendre visible.
Je remercie les usagers carrossés d'être particulièrement attentifs aux plus vulnérables, notamment aux piétons qui figurent au 2e rang des catégories d'usagers par mode de déplacement tués sur nos routes en février. »
L'accidentalité routière du mois de février 2024 en France métropolitaire selon les modes de déplacement
Bilan de l'accidentalité routière en févier 2024 dans les Outre-mer
En février 2024, les forces de l’ordre ont enregistré outre-mer 249 accidents corporels de la circulation routière, soit une hausse de +12 % par rapport à la même période l’an dernier.
On dénombre 15 personnes décédées et 290 blessées dans les accidents enregistrés.
Pour consulter le baromètre de l’ONISR en intégralité
[1] Pour se conformer aux normes des statistiques européennes, l’ONISR publie, pour la France métropolitaine, une nouvelle série de données relatives aux blessés graves. Ces valeurs sont déterminées par une nouvelle méthode établie conjointement par l’Université́ Gustave Eiffel (UGE) et l’ONISR. Cette méthode s’appuie notamment sur les données récentes relatives aux blessés enregistrés par les forces de l’ordre mais vise à estimer le nombre réel des personnes blessées dans un accident de la route prises en charge par les services hospitaliers.