Dans la plupart des pays industrialisés, se déroule de manière intense une course pour faire émerger le véhicule autonome du futur. Dans ce contexte, le ministre de l’intérieur et le secrétaire d’État chargé des transports, de la mer et de la pêche, ont confié une mission sur le déploiement en France des véhicules autonomes à l’inspection générale de l’administration (IGA) et au conseil général de l’environnement et du développement durable (CGEDD). Le rapport conjoint a été remis aux commanditaires en mars 2016. La mission propose de désigner un directeur de projet interministériel, de publier en 2017 un document stratégique du Gouvernement, de mieux organiser le travail des administrations. Elle recommande aussi de renforcer la recherche, de placer la cybersécurité au rang des priorités, d’adapter les infrastructures. Le code de la route doit être adapté, comme la formation des automobilistes. Enfin, les conséquences de ces transformations sur l’économie et l’emploi doivent être étudiées.
En 2014, le comité ministériel d’audit interne a inscrit à son programme de travail l’audit de la tutelle sur les opérateurs du ministère de l’intérieur. Dans le cadre de cet audit mené par des membres de l’IGA, de l’IGPN et de l’IDSC, ont été produits un rapport général, des annexes et huit rapports particuliers, consacrés à huit opérateurs (ANTAI, ANTS, CNAPS, ENSOSP, ENSP, INPS, OFII, OFPRA). La mission analyse la tutelle exercée sur chacun et le rôle de l’échelon ministériel. Sur la base d’une typologie des risques, d’un questionnement et d’une grille de cotation, elle évalue l’environnement des tutelles, l’impact et la probabilité d’une concrétisation des risques et formule des préconisations.
En 2014, le comité ministériel d’audit interne a inscrit à son programme de travail l’audit de la tutelle sur les opérateurs du ministère de l’intérieur. Dans le cadre de cet audit mené par des membres de l’IGA, de l’IGPN et de l’IDSC, ont été produits un rapport général, des annexes et huit rapports particuliers, consacrés à huit opérateurs (ANTAI, ANTS, CNAPS, ENSOSP, ENSP, INPS, OFII, OFPRA). La mission analyse la tutelle exercée sur chacun et le rôle de l’échelon ministériel. Sur la base d’une typologie des risques, d’un questionnement et d’une grille de cotation, elle évalue l’environnement des tutelles, l’impact et la probabilité d’une concrétisation des risques et formule des préconisations.
Les ministres de l’intérieur, des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes, de l’écologie, du développement durable et de l’énergie, ont demandé conjointement à l’Inspection générale de l’administration (IGA), l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) et au Conseil général de l’environnement et du développement durable (CGEDD) de formuler des recommandations sur l’amélioration de l’anticipation et la répartition des rôles entre l’État et les collectivités territoriales en cas de pic de pollution ; l’efficacité des mesures d’urgence et leur adaptabilité dans le temps et dans l’espace ; la lisibilité des décisions pour les citoyens et leur appropriation par-delà les fluctuations secondaires de la situation ; les modalités de gestion des épisodes à l’échelle supra-régionale. Le rapport a été remis aux commanditaires en juillet 2015.